Que l'on juge pertinent de conférer à une entreprise étrangère le droit de décider ce que les citoyens français ont le droit ou pas de dire, de lire, indépendamment du droit français, me laisse pantois.
Il y a désormais des mots qu'on ne peut plus dire. Quelle que soit la réalité de ce que l'on dit, quel que soit l'usage que l'on fait du mot. Par exemple le mot génocide. Ou peut-être même le mot guerre.
Tout cela bien sûr dans une opacité totale.
J'en viens à penser que l'IA va sonner la mort de notre libre-arbitre.
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