- Wang Wei, à la recherche du Vide, Anthologie de poèmes, Illustrations de Zheng Taijun, poèmes présentés et traduits pas Xue Lijuan
Ce livre est édité par le libraire éditeur You Feng.
S’il y a bien un numéro ISBN, on n’y trouve pas de copyright.
« Les Saisons bleues » m’avait grandement déçu. Celui-là me permettra d’apprendre quelque chose de la langue chinoise et de son écriture.
... délivré
Corrigé peut-être
Pillé à la lettre
Mon office enfin
se fera nuées
cendres et buées
Ces vers concluent le départ donné précédemment.
Ils concluront l’Office.
Décision prise.
Note au passage :
- Dire «je vous donne le mot à mot» est illusoire.
- Tout ce que j’ai pu écrire et tout ce que j’ai lu me l’aura démontré.
- Cependant, l’illusion connue, le mot à mot est assurément plus sérieux que n’importe quelle interprétation ou traduction, pour certains lecteurs.
Autre note, de "travail":
- Je retrouve chez Levi (La Chine romanesque) ce que j'ai lu chez Escande (la culture du shanshui).
- Point de paysage, point de "point de vue" ni de "panorama" sans inscription.
...privés de toute inscription, les divers sites [...] ne sauraient guère être mis en valeur (Le rêve du pavillon rouge, Cao Xueqin (1715-1763), XVII).
- L'inscription chinoise n'a que le mince rapport du commerce touristique avec les repères apposés chez nous auprès des parkings. Elle est un poème de la tradition où une tentative poétique d'un bureaucrate. Très heureusement, il n'y a chez nous que de tristes panneaux pédagogiques.
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Proxy Information
- Original URL
- gemini://wandern.flounder.online/gemlog/2023-08-12.gmi
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