Froid de canard et vent à décorner les bœufs sur la coursive. Le touriste se plaint, à raison. Coincé qu’il est, congés payés, le temps qu’il fait importe, comme la propreté des toilettes au camping.
Terminé le deuxième jour de l’office des ténèbres. Le troisième jour est prévu pour l’automne, car août, comme le suggérait J.B., rend con. Dès juillet nous prenions quelques précautions anti-touristiques, mais août ne les permet plus guère. Les choses ne reprennent un cours à peu près décent qu’en octobre.
« Plutôt qu’un monde pauvre, il faut y voir le signe d’un monde de communautés soudées et égalitaires – l’un n’empêchant pas forcément l’autre. »
Le récit est doué d’une signification débordant son sens.
Je laisse le récit puisque je n’en suis pas. Les sens du poème débordent la signification. On peut écrire que l’essence du poème est de déborder la signification. Sinon, pourquoi aurais-je passé tant de mois à mon office ?
« L’essence », dans ma phrase ou « les sens », comme « signification » ne conduisaient à rien en traduction automatique ou aux habituelles âneries. En chinois, je dois être plus résolu.
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