« Qu’est-ce qu’il y a de beau dans l’Empédocle hölderlinien et communiste des Straub et Huillet ? Précisément ce "n’oubliez rien et ne renoncez à rien", clamé au bord du volcan. Contre une conception bourgeoise du progrès, il s’agit de travailler un regard qui va à contre-courant de la progression du temps, car nous savons ce qu’il y a eu avant nous, et nous savons ce qui est digne d’être aimé ou pas. »
https://groupevolodia.com/2024/06/09/vers-un-cinema-candide-et-proletarien-pierre-tonachella/
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J'aime ce texte pour l'attention qu'il porte à la mise forme du monde et des relation (un peu à la croisée de " Vie des formes" et de "La production de l'espace" )
utilisation poétisé du terme "suivre la ligne de masse", + physicalité qu'idéologie.
"révéler l’ampleur élémentaire"
la remise en cause du progrés: le moteur ne devrait pas remplacer le moulin à eau. synchrétisme technique = coeur
le film comme broussaille de micro-fictions.
la quéte de l'époque profonde: "un âge qui passe"
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