Du coup, je refais un point sur comment j’ai fait pour progresser en dev’.
C’est tout bête, c’est pas miraculeux, et comme tout, c’est lié à de la discipline. Spoiler : ça n’implique aucun side project.
On commence : avec mes collègues, au début, quand on faisait des clashs of code, j’en terminais jamais aucun sans leur aide. Parce que j’avais la logique, mais une merdouille m’empêchait de comprendre ce qui déconnait. Un an et demi plus tard, j’ai ma collègue qui était choquée de me voir terminer mon clash avant elle. (Mais très contente pour moi !)
Donc, ça a implique de l’apprentissage régulier mais pas du par coeur bête et méchant.
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D’abord, j’utilise le système de flashcards qui permet l’apprentissage par répétition espacé. J’ai appris un truc ? (Une commande git, une truc sur de la structure de données JS, etc.), je le note dans mon logiciel de flashcards (j’utilise mochi.cards, dispo sur Mac, il existe anki, une version open source, aussi). Tous les matins, avant le taf, mochi me pose des questions et j’y réponds. Ca me permet, en 5 minutes de temps, de revoir les trucs que j’ai appris et de les intégrer dans ma mémoire à long terme.
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Technique bonus : pour bien retenir le truc, il faut poser la question sous plusieurs angles dans mochi. Exemple « que fait la fonction JSON.stringify(‘obj’, null, 2) » puis « si je veux visualiser un json entier dans ma console, avec une indentation de 4, comment faire ? ».
2e technique, j’’ai trouvé des ressources pour comprendre mon langage en profondeur (chez nous, c’est javascript donc). Par exemple, j’ai joué avec justjavascript.com Idéal pour comprendre un peu mieux les entrailles de JS.
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Dans le même genre, je me suis attelée à traduire le repo « you don’t know JS yet », pour ma culture, ce qui me permet, là encore, d’en apprendre plus sur l’histoire du langage et ses structures de données.
Quelques clash of code avec les collègues de temps en temps, pour se faire la main sur la pratique quotidienne du JS (en plus du taf en pair ou mob programming, pratique usuelle chez nous).
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Dernière chose : J’ai un collègue avec qui je pratique mes algo. C’est horrible, c’est difficile et parfois pénible, mais je pense que c’est nécessaire pour mieux comprendre le langage en particulier et les concepts de dev’ en général.
Bon, en vrai, Y’a encore 2 trucs à retenir : le temps et la pratique aident à s’améliorer, et la discipline aussi. On apprends TOUS. LES. JOURS. C’est le principe de fonctionnement du cerveau.
Et quand les collègues reconnaissent le bond technique que t’as fait, ou que toi-même tu le réalises, ben, c’est hyper cool en vrai. Et zéro side project dans le lot. ^ ^
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