Honnêtement c'est désolant les réjouissances à la mort de Le Pen.
J'avais eu le même sentiment lors des réjouissances lors de l'accident de MLP ou l'agression de Berlusconi : se réjouir de la souffrance d'un être humain, c'est une passion triste qui n'augure rien de bon.
Pour ces derniers, s'ils avaient été tués, c'est autre chose, cela aurait été un développement politique positif.
Mais eux juste blessés, ou le vieux Le Pen qui n'avait plus aucun rôle politique, je trouve ça glauque.
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"Paix aux morts" c'est un principe philosophique fondamental reconnaissant notre humanité commune, même avec les pires crapules.
Cela n'interdit pas la violence politique quand elle est nécessaire, mais justement l'important c'est le "quand c'est nécessaire".
Faire souffrir l'ennemi pour le plaisir, juste parce qu'on ne l'aime pas, ça n'a rien d'une éthique progressiste ou émancipatrice.
Le sadisme en politique, on sait de quel bord c'est.
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