L’affaire Pelicot est emblématique de la politique de ces dernières décennies, particulièrement de la manière dont le consentement des électeurs est obtenu.
La drogue administrée aux électeurs est une potion instillée chaque jour par les moyens qu’ont les citoyens de s’informer. Je ne dirais pas que les journalistes sont vendus, seulement que ceux qui sont les plus présents sont ceux qui ont été choisis parce qu’on savait leur capacité à faire ce que les prédateurs suprêmes attendraient d’eux.
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C’est ainsi qu’on crée une opinion publique. On va sans réserve vanter les qualités d’individus que les prédateurs veulent voir élus pour défendre leur intérêts.
L’électeur a qui on a ainsi « bourré le mou » n’a pas d’information véritable, pas de consentement réel. Il va voter en se croyant éclairé alors qu’il n’est que conditionné.
La seule manière d’échapper au brouillard anesthésiant diffusé : développons notre esprit critique.
Sinon, on se réveillera un peu tard en découvrant abusés.
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@aubin Si on applique ton postulat à la politique actuelle, on comprend pourquoi la presse officielle tourne Barnier en « vieux briscard sauveur de la république »
Il est formi… formi… formi… formi formidaaable d’après les médias mainstream
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