Du temps des Amies et de son éducation incomplète. N'auront pas agi, l'enfant gêneur, la si sotte bête. Dans les vergers et les allées voisins du méandre. La boue est rouge ou noire.
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Aux tortures qui rient, dans leur silence atrocement houleux. Repos et vertige. Le sang et le lait coulèrent. Oh ! mes amis ! Mon cœur, c'est sûr, ils sont des frères.
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Chansonnier, ta filleule, c'est ma soif si folle. Promène-toi la nuit. Comme l'histoire ou les religions ne l'ont jamais été. Les cailloux sonnent sous cette fière bande !
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Au-dessus du niveau des plus hautes crêtes. Elle recule, elle se dresse. Et, presque chaque nuit, aussitôt endormi, le pauvre frère se levait. Il s'est chargé de ma vie.
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Et si je redeviens le voyageur ancien. Et chante à l'instant, en sœur des haleines. Aussi comme, de ma fenêtre, je vois des spectres nouveaux. Mes amis, je veux qu'elle soit reine !
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J'observe l'histoire des trésors que vous trouvâtes. La mer de la veillée, telle que les seins d'Amélie. D'un boulevard de Bagdad où des compagnies ont chanté. Au revoir ici, n'importe où.
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Les fleurs qui regardaient déjà. Je créais. Voilà mille loups, mille graines sauvages. Les proues d'acier et d'argent, battent l'écume.
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À leur plus simple expression. Par délicatesse j'ai perdu ma vie. En sa passion ou en son action. La mer et le ciel attirent aux terrasses de marbre la foule.
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L'éclat impérial des bâtisses, et la neige éternelle du sol. Le sang ! le sang ! la flamme d'or ! Ô maintenant, nous si digne de ces tortures ! Les talus le berçaient.
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Et l'embarras des pauvres et des faibles sur ces plans stupides ! Quel saccage du jardin de la beauté ! Assez eu. Un musicien même, qui ai trouvé quelque chose.
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Les sauvages dansent sans cesse la Fête de la Nuit. Jeunes mères et grandes sœurs aux regards pleins de pèlerinages. Ô malheur ! je me sens frémir, la vieille terre. Gagnons, pèlerins sages.
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Terque quaterque. Il ne faut même plus songer à cela. Dans des corridors de gaze noire. Était-ce donc ceci ?
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Ou que l'Arabie ! Retiré de nos horreurs économiques. Nudité qu'ombrent, traversent et habillent les arcs-en-ciel. Vrai, je crois.
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Je ne regrette pas ma vieille part de gaîté divine. Sans qu'on dise : enfin. Et de la rumeur des perles et des conques précieuses. L'élégance, la science, la violence !
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Démon, dieu, Jeunesse de cet être-ci. Et la soif malsaine obscurcit mes veines. Et de bois qui se meuvent sur des rails et des poulies invisibles. Les brasiers, pleuvant aux rafales de givre.
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S'enfouissant, et les fleurs ouvertes ! Un bras de mer, sans bateaux, roule sa nappe de grésil bleu. Voici le temps des Assassins. Des ciels gris de cristal.
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Cependant ce ne sera point un effet de légende ! Des prés de flamme bondissent jusqu'au sommet du mamelon. Le haut étang fume continuellement. Quelques nababs, aussi rares.
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Des yeux hébétés à la façon de la nuit d'été. Un petit monde blême et plat, Afrique et Occident, va s'édifier. Tes yeux, des boules précieuses, remuent. Et nous envoyer, fouettés à travers les eaux clapotantes.
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Quoi ? L'éternité. Postillon et bêtes de songe. Entre les conceptions de la barbarie moderne les plus colossales. Les couleurs propres de la vie se foncent, dansent, et se dégagent.
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Je suis le saint, en prière sur la terrasse. Et leurs railways flanquent, creusent, surplombent. Vois le bitter sauvage rouler du haut des monts. La Juliette, ça rappelle l'Henriette.
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